Namêche, un village à promouvoir !


Lors de notre dernier Conseil communal – et sur base des informations reprises entre autres dans le Rapport annuel du Collège au Conseil communal – je me suis permis de vous questionner sur le village de Namêche. Nous avons eu, je crois, un échange de vue assez positif sur le sujet.

Seul village des dix entités qui constituent notre commune, a avoir connu une diminution du nombre d’habitants, Namêche mérite que nous nous penchions sur son avenir et sur son développement. Interpellé à plusieurs reprises par divers riverains, mobilité et sécurité routière sont systématiquement évoquées. Serait-ce là un premier « angle d’attaque » pour améliorer le cadre de vie de ce village ?

Ces problèmes de mobilité et de sécurité routière évoqués sont :

  • tout d’abord, la sécurité automobile et piétonne au carrefour des rues Evraud et Wauthier (gare). Déjà plusieurs accidents (parfois mortels) y sont survenus. La vitesse et la visibilité réduite en sont clairement les causes ;
  • la vitesse des véhicules provenant de Vezin et pénétrant par le haut du village (rue Vandervelde). Après une longue ligne droite, ceux-ci sont « lancés » parfois à très vive allure dans la descente avec des risques d’insécurité et d’accidents évidents ;
  • la vitesse excessive des véhicules (et plus particulièrement celles de certains camions) empruntant la rue Roi Chevalier pour se rendre vers l’usine Lhoist. Ajoutons que cette rue dispose de trottoirs parfois très étroits ;
  • les difficultés de mobilité des piétons sur le flanc ouest de la rue Evraud dépourvue elle aussi de trottoir entre les carrefours formés avers les rues Bois l’Evêque et de la Déportation. Comment gérer leur sécurité et la parking de voiture se garant tout contre les habitations et obligeant les piétons à se rendre sur la chaussée ? ;
  • la vitesse des véhicules rue Bois l’Evêque qui, en ligne droite, abordent le carrefour avec la rue Evraud, à trop grande vitesse ;
  • l’état de la rue de l’église Notre-Dame qui est fermée depuis plusieurs années. Qu’en est-il ? Quand cette rue sera-t-elle enfin rendue accessible ?
  • etc.

Quelles solutions le collège peut-il proposer pour résoudre ces divers problèmes et aider au développement de l’entité ?

Interpellation déposée par Étienne SERMON au Conseil communal du 23 janvier 2012